Le tutoiement peut aussi avoir comme effet, la valorisation du salarié se sentant vue comme une personne et non pas seulement comme un pion" Moi, c'est le
21Letutoiement Ă©voque lâintime, le familial, mais aussi la dĂ©pendance dâune relation quelquefois profondĂ©ment asymĂ©trique. En France, on a toujours tendance Ă tutoyer les personnes placĂ©es en garde Ă vue dans les commissariats ou Ă©crouĂ©es dans les prisons [4] .
Ladirection de mĂ©moire constitue lâune des caractĂ©ristiques de la structure formative du deuxiĂšme cycle universitaire (Master) qui font diffĂ©rer celle-ci de la structure formative du premier cycle (Licence). Elle reprĂ©sente pour les Ă©tudiants une nouvelle relation pĂ©dagogique duale qui se distingue de la relation pĂ©dagogique groupale quâils ont pu
surla relation thĂ©rapeutique et permet un questionnement sur le sens de notre savoir-faire et notre savoir-ĂȘtre, qui font toute la particularitĂ© et la richesse du mĂ©tier du soignant. Dans un premier temps, je prĂ©senterai ma situation dâappel que je questionnerai et analyserai pour aboutir Ă une question de dĂ©part. JâĂ©clairerai cette derniĂšre par diffĂ©rents auteurs qui . 2
Pyrameet ThisbĂ© adoptent ce mode allocutif sans Ă©clat particulier (au cours de la scĂšne 2 de lâacte II) et de façon dĂ©finitive. Dans les autres cas, aisĂ©ment dĂ©nombrables car rares (21 en tout), le tutoiement correspond essentiellement Ă une relation entre Ă©gaux (colonne 7 du tableau : 15 cas).
XzHe. Le vouvoiement n'est pas le moindre des charmes de la langue française. Le vouvoiement n'est pas le moindre des charmes de la langue française. DĂšs l'Ă©poque romaine, le "vous" de politesse constitua un contre-pied au "nous" de majestĂ© utilisĂ© par les empereurs. Aujourd'hui, en France, les rĂšgles qui prĂ©sident Ă la distinction entre le "tu" et le "vous" sont devenues subtiles. En principe, le recours au vouvoiement marque le respect, en particulier Ă l'Ă©gard d'une personne plus ĂągĂ©e, sans doute parce que, dit-on, elle reprĂ©sente la sagesse. Mais il peut aussi caractĂ©riser la distance, voire la condescendance. Quant au tutoiement, il est plus simple, mais plus familier. C'est aussi une affaire de gĂ©nĂ©rations. A une certaine Ă©poque, il Ă©tait d'usage de vouvoyer tout le monde, Ă l'exception des trĂšs proches. C'est la culture Ă©galitaire soixante-huitarde qui a gĂ©nĂ©ralisĂ© le tutoiement, aussi bien entre amis ou au sein de la famille que dans les relations professionnelles. On n'en continue pas moins Ă vouvoyer les anciens, qui pratiquent plus volontiers le vouvoiement. Il fut ainsi un temps oĂč, dans de nombreuses familles, surtout dans les milieux aisĂ©s, on vouvoyait ses ascendants. Monique, 56 ans, continue de donner du "vous" Ă ses parents, aujourd'hui octogĂ©naires. L'habitude fut prise dĂšs l'enfance. "Vers mon sixiĂšme anniversaire, j'ai passĂ© une annĂ©e loin d'eux. A mon retour, suivant l'exemple des enfants de mon Ăąge, je les ai tutoyĂ©s. J'ai rapidement compris que ce n'Ă©tait pas convenable." Chez Colette, aujourd'hui ĂągĂ©e de 74 ans, on vouvoyait Ă©galement les parents. "C'Ă©tait l'expression d'un respect et cela nous semblait naturel. Nous Ă©tions scolarisĂ©s dans une pension catholique oĂč les enseignants nous vouvoyaient." Dans certaines familles, le vouvoiement est encore plus systĂ©matique. "J'avais trois cousins qui ont vouvoyĂ©, toute leur vie, leur soeur aĂźnĂ©e" , se souvient Colette. "Ma mĂšre, ĂągĂ©e de 92 ans, ne tutoie que les enfants de moins de 10 ans" , tĂ©moigne Myriam, 60 ans. "Je vouvoie ma belle-soeur, qui a une dizaine d'annĂ©es de plus que mon mari" , ajoute Annette, 63 ans. L'ĂPREUVE DES 3 000 MĂTRES Mais l'Ă©poque a changĂ©. Elle a directement marquĂ© la famille de Colette. "Nous Ă©tions dix. Ma plus jeune soeur, nĂ©e vingt et un ans aprĂšs moi, est la seule qui ait tutoyĂ© nos parents. Cela lui donnait d'ailleurs une libertĂ© de langage que nous n'avions pas. Le tutoiement crĂ©e un autre registre de relations" , observe-t-elle. Ni Colette, ni Monique n'ont exigĂ©, Ă la gĂ©nĂ©ration suivante, d'ĂȘtre vouvoyĂ©es par leurs enfants. "Cela ne m'est mĂȘme pas venu Ă l'esprit" , tĂ©moigne Monique. Et c'est ainsi que des petits-enfants tutoient leurs grands-parents, alors que leurs parents les vouvoient. Les seniors d'aujourd'hui demeurent plus prompts que d'autres Ă exiger le respect qu'implique le vouvoiement. En particulier, le choix d'un mode de communication avec les gendres et belles-filles est une question sensible qui influe sur l'ambiance familiale. "Je tutoie mes deux belles-filles et elles me vouvoient. C'est moi qui l'ai voulu, car je considĂšre que l'on n'a pas Ă me tutoyer" , explique Mady, 63 ans. "Mon gendre me vouvoie, c'est une marque de respect" , confirme Annette. En revanche, on tutoie plus facilement les parents de son gendre ou de sa belle-fille, qui se trouvent ĂȘtre aussi les grands-parents de ses petits-enfants. Robert, 82 ans, a eu sept enfants, et tous se sont mariĂ©s. Cet amoureux de la montagne avait Ă©dictĂ© une rĂšgle originale "J'ai tutoyĂ© mes gendres et mes belles-filles Ă partir du moment oĂč nous Ă©tions allĂ©s ensemble Ă plus de 3 000 mĂštres d'altitude. L'excursion avait lieu avant le mariage et, une fois au sommet, je leur annonçais qu'ils Ă©taient dĂ©sormais membres de la famille. Tous ont passĂ© l'Ă©preuve, mĂȘme si l'une de mes belles-filles a peinĂ© pour passer la derniĂšre barre rocheuse." HabituĂ©s dĂšs leur enfance Ă considĂ©rer le vouvoiement comme la maniĂšre normale de s'adresser Ă des Ă©trangers Ă la famille, certains seniors demeurent circonspects devant la familiaritĂ© qui caractĂ©rise aujourd'hui la sociĂ©tĂ©. "Nous tutoyons nos amis, raconte Myriam. Mais lorsque nous rencontrons des couples de notre gĂ©nĂ©ration au cours d'une semaine dans un club de vacances, par exemple, j'ai du mal Ă les tutoyer en sachant que nous ne nous reverrons sans doute jamais." Pour ceux qui Ă©prouvent le plus de rĂ©ticences, c'est la pratique d'activitĂ©s communes qui permet de passer le cap. "Mon mari et moi faisons partie d'une association de retraitĂ©s engagĂ©s, des gens trĂšs respectables qu'il m'est difficile de tutoyer" , explique Colette. "Mais lorsque nous organisons une marche, la distance disparaĂźt. On porte de gros godillots et un sac Ă dos. A la pause, chacun plonge sa main dans le paquet de biscuits. Cela change forcĂ©ment le lien." La mĂȘme Colette admet avoir du mal Ă tutoyer naturellement. Elle raconte ce curieux moment oĂč s'effectue le passage du "vous" au "tu" . "Un jour, une amie m'a fait remarquer que nous nous vouvoyions. "C'est un peu bĂȘte", avons-nous dĂ©crĂ©tĂ©. Nous dĂ©cidĂąmes alors de passer au tutoiement. Mais je n'ai pas pu m'y rĂ©soudre immĂ©diatement. J'ai continuĂ© Ă vouvoyer, puis je me suis rappelĂ©e que nous avions un pacte, et j'ai tĂąchĂ© de la tutoyer, mais en oubliant souvent. Peu Ă peu, cependant, le tutoiement s'est installĂ©." Olivier Razemon Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă la fois Ce message sâaffichera sur lâautre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce quâune autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă lire ici ? Ce message sâaffichera sur lâautre appareil. Ce dernier restera connectĂ© avec ce compte. Y a-t-il dâautres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant dâappareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant Ă des moments diffĂ©rents. Vous ignorez qui est lâautre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Si tu es sage, tu sais mamie avec sa petite retraite elle peut pas toujours donner beaucoup. Mais tu auras ton orange promis » dit-je dâun air amusĂ©e en reprenant la voix tremblante dâune personne ĂągĂ©e. Nous sommes vĂ©ritablement deux gamines qui se chercher des noises. Faut dire quâil nâen fallait pas beaucoup pour le pouffai Ă©touffant mon rire dans mes mains, visualisant la scĂšne cocasse dâune Weir complĂštement Ă©berluĂ©e de voir deux amants. Elle ne devait pas beaucoup se faire bousculer la vieille impĂ©ratrice. Faut dire quâelle donnait autant envie que de se taper un rĂ©verbĂšre ! Et je suis certaine quâon peut prendre son pied avec ce type dâobjet, bien mieux quâavec elle. Oh que jâaurais aimĂ© quâon filme sa tĂȘte ! » jâavais du mal Ă mâarrĂȘter de rire et finalement, aprĂšs quelques secondes et la larme Ă lâĆil, je rĂ©ussis Ă me ils avaient Ă©tĂ© idiot, mais si lâamour Ă©tait quelques choses dâintelligent, il aurait moins de problĂšme ! Personnellement, je me sentais bien contente dâignore ce genre de problĂ©matique. Avec ma perception du couple et de la notion dâamour, je mâĂ©pargnai des souffrances dĂ©testables. MĂȘme si je devais lutter contre ma nature humaine de verser dans le sentimental. Câest une dĂ©fense, un bouclier qui pouvait se briser un jour et jâespĂšre que cela nâarrive pas. DĂ©jĂ , que jâavais trop investit avec Blanche, hors de question de vivre ce genre dâĂ©mois. MĂȘme si lâhistoire est belle. Mais, nous ne parlions pas dâe moi, mais de ma charmante amie, qui mĂȘme si elle avait Ă©tĂ© idiote, elle avait ses raisons. Rien nâest facile dans les relations humaines. Oui, mais bon les relations sont toujours stupides, tant que ça se finit bien câest le principale » ce fut ma petite conclusion. hĂ©hĂ©, je vais finir par lâouvrir cette nurserie ! »Je lui fis un beau sourire Ă son remerciement, entre deux bĂąillements. Je perçue son regard tendre que je lui rendis par mimĂ©tisme et parce que je lâaffectionnai aussi. Jâai pleins dâidĂ©e si besoin » oui je ne manquais pas de vacheries en rĂ©serve. Je lui donnai avec prĂ©cision, quand jâallais partir dans les songes, lui donnant la possibilitĂ© dâĂ©changer sur mon agression si besoin. AprĂšs tout, jâignore si elle va sâen servir pour son enquĂȘte. Je lui souris quand elle me toucha le bras. Le chat Ă©tait en creux de me ventre bien installĂ© et en train de ronronner. Panda » je montra le soldat Ă cĂŽtĂ© de moi Viens tous les soirs chercher les filles du corps mĂ©dicale, cette fois, il avait dĂ» avoir du retard puisque jâai finis tard du a lâopĂ©ration de Matt. JâĂ©tais seule et donc il mâa raccompagnĂ©e, me proposant quâon aille dĂ©gourdir les jambes de Kalash son chien sur les digue. Jâadore ce chien ! » Jâeue un sourire tendre pour lâanimal Je te le montrerai un jour, il est superbe. Bref. En allant dans un couloir, il y a eu deux types qui ont crus bon de faire de lâhumour et qui dĂ©sirai mâagresser. Je ne sais pas trop encore si Panda câest fait piĂ©gĂ© ou non, mais ils se connaissaient. Bref, je me suis fait plaquer par lâun des loubard et Panda câest battue. Je me suis enfuis, jusquâĂ un laboratoire que je pensais vide et finalement il y avait Mike Femens dedans. On a Ă©laborĂ© un plan, les soldats sont arrivĂ©s, ont leur a balancer une plante qui a explosĂ© sur eux. Ăa nâa pas si bien marchĂ©, car Mike câest retrouver attachĂ© Ă une chaise et moi, au pied dâune table en petite tenue, dans le but de me faire violer. Bon ils mâont frappĂ© car je ne tenais pas en place. Et au moment, oĂč ma culotte allait glisser, Panda Ă dĂ©barquer, Mike câest libĂ©rer et les vilains sont tombĂ© Ă terre. Jâai soignĂ© Panda qui Ă©tait Ă moitiĂ© mort et je me suis Ă©vanouie, hypothermie » se fut du sacrĂ© rĂ©sumĂ© en tout jeta un coup dâĆil au soldat qui Ă©tait dans le coltard, quand Isia le lui montra. Elle la laissa se lancer dans son rĂ©cit, sans chercher Ă lâarrĂȘter, lui narrant les Ă©vĂšnements comme elle les avait perçus. La jeune femme nâĂ©tait pas rassurĂ©e de se dire que lâhomme qui lâavait peut-ĂȘtre piĂ©gĂ© Ă©tait hospitalisĂ© dans la mĂȘme piĂšce quâelle, mais manifestement, il sâĂ©tait battu bec et ongle pour la sortir de lĂ . Alors il sâĂ©tait peut-ĂȘtre retrouvĂ© dans un jeu qui le dĂ©passait. Une enquĂȘte serait ouverte, bien entendu. La consultante hocha de la tĂȘte quand elle lui proposa de rencontrer le chien. Elle lâavait entraperçue Ă la soirĂ©e Santa. Isia nâavait pas subi passivement, du coup, elle sâen remettrait sĂ»rement bien. Une sacrĂ©e aventure », dit-elle. Elle avait Ă©tĂ© complĂšte. NĂ©anmoins, certaines questions vinrent Ă Erin, qui lui demanda donc. Tu avais dĂ©jĂ eu Ă voir avec ces hommes ? Ils voulaient quelque chose en particulier ? Ils nâauraient rien dit des fois sur la personne qui les a envoyĂ©e ? Si je vais trop vite, nâhĂ©site pas Ă me le dire. » Elle suivait le fil de ses pensĂ©es et du coup ça sortait comme ça venait. Non, jâai dĂ» les soigner peut-ĂȘtre mais bon, ils ne mâont pas marquĂ©e. Oui, ils dĂ©siraient les Pass des chambres en plus de me pĂ©ter cul » dit-je avec une pointe dâamusement. Oui, je nâĂ©tais pas spĂ©cialement choquĂ©e au final. Je rĂ©flĂ©chit un peu Non, je nâai rien qui me reviens. Ils Ă©taient dans lâoptique de se faire plaisir. Non ça va je suis » Dâaccord, de toute façon, ils sont bels et bien identifiĂ©s maintenant, vu lâĂ©tat dans lequel on les a retrouvĂ©s, ils nâont pas pu sâenfuir. Ils voulaient certainement finir le boulot Ă lâinfirmerie », dit-elle par pure constatation. N'hĂ©site pas si tu as quelque chose qui te revient dans les prochaines heures ou jour, je suis toujours joignable pour toi. » Oui faut dire que Panda et Mike nây sont pas allĂ© mollo. Remarque-moi non plus si jâavais pu en tuer un avec mon scalpel je lâaurais fait » Je lui fis un grand sourire Oui, je te dirais. Merci et si tu veux discuter avec moi via radio quand tu as un moment tu peux aussi » Je lui attrapai la main dans un geste affectif. Au faite je ne tâai jamais dit. Mais ma mĂšre se nommait Eryn, avec un y » câest drĂŽle non ? » Ce que je comprends parfaitement. Ces pourritures ne mĂ©ritaient pas mieux. Mais je suis contente que tu nâen ait pas tuĂ© un. » Erin lui rendit son sourire, sincĂšre. Elle aurait eu des emmerdes Ă foison, sauf en cas de lĂ©gitime dĂ©fense. Bref. Dâaccord, je nâhĂ©siterai pas Ă tâembĂȘter par radio Ă©galement », dit-elle alors que la doctoresse lui attrapait la main affectueusement. Erin lui caressa le dos de la main avec la chair charnue de son pouce. Ah ? Non, tu ne me lâavais jamais dit. Câest une drĂŽle de coĂŻncidence tiens. Câest elle, ton cĂŽtĂ© australien ? », demanda-t-elle curieuse, avant dâajouter, comme si elle nâavait pas pu sâempĂȘcher NâempĂȘche, avec un nom pareil, je suis sĂ»r que câest une femme extraordinaire ! » Bonjour les chaussettes qui viennent dâexploser ! Oui, jâaurais Ă©tĂ© emmerdĂ©e encore » je ricanai amuser, mieux vaut Ă©viter dâavoir un procĂšs pour meurtre. Je lui souris une nouvelle fois Ă la mention de la radio. Oui, quelques petits Ă©changes seront bĂ©nĂ©fiques pour me tenir compagnie. Surtout avec lâautre ronchon Ă cĂŽtĂ© de moi. Non, câest mon pĂšre qui est Australien. Ma mĂšre Ă©tait chirurgienne de renom, comme quoi câest gĂ©nĂ©tique » oui quelques fleurs ça fait du bien. Bien entendu je parlais au passĂ© de ma mĂšre Ă©tant plus de ce monde Haha oui, elle Ă©tait extraordinaire ! » rĂ©pliquait je confirma de la tĂȘte quâelle aurait Ă©tĂ© embĂȘtĂ©e, avec un sourire amusĂ©e alors que la blonde ricanait. Elle prenait vraiment tout Ă la lĂ©gĂšre et comme ça venait. Au moins, elle ne se faisait pas tant de soucis que ça, ce nâĂ©tait pas plus mal. Dâaccord, tu suis les traces de ta mĂšre, câest bien aussi », fit Erin, notant quâelle parlait dâelle au passĂ© . Ăa ne mâĂ©tonne pas, pour mâavoir donnĂ© une copine pareille, elle devait lâĂȘtre », rajouta la consultante avec un nouveau bisou sur la joue pour son amie. Je vais te laisser te reposer. Je te laisse Harry ? » Elle ne voulait pas lui imposer le chat, si tant est si bien quâun chat sâimpose⊠Dans un sens oui. » câest marrant que finalement je fasse la mĂȘme chose quâelle. Comme quoi des mĂ©tiers pouvait ĂȘtre familiale. Exactement » je rĂ©ceptionnai le bisou avec un beau sourire. Oui, laisse-le-moi il est trĂšs bien lĂ . Je le transmettrais Ă Katty » dit-je amusĂ©e. Je baillai une nouvelle fois DĂ©solĂ©, je vais dormir, merci dâĂȘtre venue ma belle » je lui fis un tendre bisou sur la joue. Bon courage et fait attention Ă toi, jâaimerais que tu ne viennes pas me tenir compagnie dans un ce genre de lit » dit- je dans une petite provocation amusante. Ne t'excuse pas, en ce moment habituellement on sâendort au milieu dâune conversation », dit elle avec humour. Erin fit une moue contrariĂ©e. Je nây compte pas, je prĂ©fĂšre les soirĂ©es entre fille dans ma chambre plutĂŽt quâici. Allez, je file. Repose toi bien ma chĂ©rie. » Oui moi aussi, a plus tard ma belle » fit-je en pouffa avec un salut de la main quand la jeune femme partie. END 14/02/2016
Les artistes sont souvent amenĂ©s Ă travailler avec divers spĂ©cialistes des techniques nĂ©cessaires Ă la rĂ©alisation de leurs Ćuvres. Dans certains cas, il sâagit de vĂ©ritables collaborations crĂ©atives. Se pose alors la question de lâauteur, autrement dit de lâattribution Ă un artiste de la paternitĂ© dâun travail qui est largement collectif. Une enquĂȘte sur trois Ćuvres dâartistes contemporains permet de mettre en lumiĂšre les tensions et conflits qui peuvent naĂźtre de cette situation, mais aussi les voies par lesquelles ces tensions et conflits peuvent ĂȘtre limitĂ©s ou rĂ©solus. Sauvageot A., 2020, Le partage de lâĆuvre, Essai sur le concept de collaboration artistique, Paris Ăditions LâHarmattan. Les dĂ©fis de lâinnovation dans le contexte de lâart contemporain Lâart contemporain est de plus en plus souvent contraint dâimporter des technologies parmi les plus sophistiquĂ©es, tant du point de vue de la nature des matĂ©riaux que de son process. Face au dĂ©fi de lâinnovation, lâartiste peut en effet difficilement Ă©viter dâavoir recours Ă des compĂ©tences qui lui sont trĂšs gĂ©nĂ©ralement Ă©trangĂšres, quâil sâagisse de savoirs qui ont beaucoup Ă©voluĂ© â la gravure par exemple â ou des apports des nouvelles technologies â le numĂ©rique, la robotique, lâintelligence artificielle, entre autres. De tels apports ne sauraient intervenir sans orienter tangiblement la conception de lâĆuvre telle quâelle a Ă©tĂ© pensĂ©e initialement, de mĂȘme que sa concrĂ©tisation, voire sa scĂ©narisation. Toutes incidences qui font de lâartiste, comme le souligne Pierre-Michel Menger, un professionnel Ă part entiĂšre et non pas un crĂ©ateur Ă©thĂ©rĂ©, soumis aux seules exigences du talent qui lui serait dĂ©volu. Les Ă©tudes sociologiques, fouillant in situ lâĆuvre et les acteurs qui la conduisent â de sa conceptualisation jusquâĂ sa rĂ©alisation â ont illustrĂ© lâincroyable fourmiliĂšre dont sa fabrication est issue. Manager autant que crĂ©ateur, lâartiste se doit en effet de nouer de nombreuses collaborations, que celles-ci soient dâordre institutionnel, mĂ©diatique ou technologique. Si les artistes reconnaissent un certain partage des tĂąches, de nombreuses questions cruciales se posent nĂ©anmoins en quoi ces collaborations contribuent-elles Ă rĂ©orienter leur projet ? Peuvent-elles conduire Ă une redĂ©finition de celui-ci ? Comment les artistes vivent-ils cet empiĂštement sur leurs prĂ©rogatives dâauteur ? Se pose en effet, la question de la paternitĂ© de lâĆuvre, mĂȘme sâils sont bien peu enclins Ă en partager lâautoritĂ©. Une Ă©tude rĂ©cente Le partage de lâĆuvre » Cette Ă©tude nâentend pas rĂ©duire Ă nĂ©ant la crĂ©ativitĂ© des artistes â tant sâen faut â mais examiner au plus prĂšs la nature et le poids des collaborations quâimplique tout accomplissement artistique. Il ne sâagit pas dâun tour dâhorizon vouĂ© Ă des gĂ©nĂ©ralisations hĂątives mais dâune focalisation sur la rĂ©alisation de trois Ćuvres prĂ©cises signĂ©es par trois artistes diffĂ©rents dont la notoriĂ©tĂ© dans le domaine de lâart contemporain international est acquise. Virgile Novarina ESA/CNES Des entretiens soutenus ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s avec dâune part, ces trois artistes relevant de lieux et de registres esthĂ©tiques diffĂ©rents, dâautre part avec les collaborateurs ayant contribuĂ© de maniĂšre significative Ă leur Ćuvre. Il sâagit de Miquel BarcelĂł Ă propos des vitraux rĂ©alisĂ©s en tandem avec le verrier Jean-Dominique Fleury dans la chapelle Sant Pere de la cathĂ©drale de Palma de Majorque 2006-2007, Eduardo Kac Ă propos de son Ćuvre TĂ©lescope IntĂ©rieur, rĂ©alisĂ©e en partenariat avec Thomas Pesquet lors du sĂ©jour de celui-ci au sein de la Station Spatiale Internationale Mission Proxima, 2017 et CĂ©leste Boursier-Mougenot Ă propos dâoffroad, une Ćuvre prĂ©sentĂ©e en 2014 au MusĂ©e des Abattoirs de Toulouse avec, entre autres, Guilhem de Gramont, constructeur. Trois artistes donc et trois Ćuvres qui ont nĂ©cessitĂ© un montage institutionnel et une collaboration complexe â ce qui ne veut pas dire nĂ©cessairement conflictuels â avec des professionnels de compĂ©tences diverses. TrĂšs diffĂ©rents dans leur dĂ©marche et leur positionnement dans le contexte de lâart contemporain â ce qui renforce lâintĂ©rĂȘt de cette Ă©tude â ils ne sont pas pour autant sans partager quelques points communs. Outre leur appartenance Ă une mĂȘme gĂ©nĂ©ration, chacun dâentre eux cultive une approche que lâon pourrait qualifier de pluridisciplinaire, multipliant lâexploration de matĂ©riaux et de techniques trĂšs diversifiĂ©s. Tous trois partagent Ă©galement un dĂ©nominateur commun quant Ă leur prĂ©dilection pour toutes les formes du vivant â proximitĂ© primitive avec lâanimal chez Miquel BarcelĂł jusquâĂ la tentation transgĂ©nique chez Eduardo Kac et CĂ©leste Boursier-Mougenot pour qui plantes, animaux et objets banals peuvent excĂ©der leur nature. LâinĂ©gal accĂšs des rĂŽles et des statuts De cette Ă©tude rĂ©sultent quelques constantes qui donnent Ă rĂ©flĂ©chir. Les rĂŽles, lors de la prĂ©sentation du projet ont le plus souvent un contour bien dĂ©fini câest lâartiste et lui seul qui Ă©nonce le projet tel quâil lâa conçu. Câest lĂ son rĂŽle de concepteur, de crĂ©ateur, qui ne peut ĂȘtre remis en cause sous peine de dĂ©truire la base sur laquelle repose le partenariat et de fait le projet initial ne sera jamais discutĂ© de front. Il est posĂ© comme un Ă©noncĂ©, un acte de droit dont la lĂ©gitimitĂ© ne peut ĂȘtre remise en cause. Mais, en rĂ©alitĂ©, la pratique de coopĂ©ration se dĂ©veloppe de maniĂšre endogĂšne, bien davantage dans le cours de lâaction que sous la contrainte de rĂšgles qui lui seraient extĂ©rieures. DĂšs que lâon fouille les interactions qui se jouent dans lâespace collaboratif, on se rend compte que les rĂŽles sont souvent redĂ©finis par les pratiques elles-mĂȘmes. La maniĂšre essentielle par laquelle lâartiste instaure son autoritĂ© sâinscrit dans ses prises de dĂ©cision. GĂ©nĂ©ralement Ă©tablie pour la durĂ©e limitĂ©e de la rĂ©alisation dâun projet, une collaboration rassemble des individus disparates qui le plus souvent ne se connaissaient pas au prĂ©alable et qui vont devoir conjuguer leurs savoir-faire dans un contexte qui porte sa part dâalĂ©as et dâincertitude. Dans un dĂ©lai trĂšs court, chaque journĂ©e consiste Ă rĂ©soudre les problĂšmes que le dĂ©ficit dâune dĂ©finition initiale rigoureuse ne manque pas de soulever â quelques fois bĂ©nins, quelques fois plus sĂ©rieux au point dâinvalider lâĆuvre telle quâelle a Ă©tĂ© prĂ©conçue par lâartiste. La rĂ©alisation collective se prĂ©sente ainsi comme une suite de tĂątonnements dont les rĂ©sultats nĂ©cessitent dâĂȘtre validĂ©s ou non. Si lâexposĂ© des difficultĂ©s et de leur possible rĂ©solution se font de maniĂšre concertĂ©e, impliquant parfois toute lâĂ©quipe qui entoure lâartiste, seul celui-ci, pesant le pour et le contre lorsquâil nâest pas dâemblĂ©e convaincu, est Ă mĂȘme de prendre la dĂ©cision, quitte Ă devoir revenir sur celle-ci. Seul lâartiste, est lĂ©gitime pour ces dĂ©cisions qui seront irrĂ©futablement historicisĂ©es en relation au nom propre de lâauteur » comme lâĂ©crit François Deck. Si la prise de dĂ©cision peut ĂȘtre prĂ©cĂ©dĂ©e par de nombreuses tentatives de rĂ©solution des difficultĂ©s et intervenir Ă la suite dâune sĂ©rie de concertations, elle peut aussi intervenir de maniĂšre pĂ©remptoire. Câest dâun geste souverain que lâartiste peut dĂ©clarer son Ćuvre terminĂ©e, ce qui fait basculer la collaboration dans un dĂ©cisionnisme qui clĂŽt la coopĂ©ration. Les affres de la rĂ©putation et lâassignation de lâĆuvre La rĂ©putation de lâartiste, assurĂ©e par lui-mĂȘme ou par lâensemble des dispositifs intermĂ©diaires, se doit de mettre en avant un nom â le sien â associĂ© aux Ćuvres quâil authentifie, Ă lâexclusion de ceux qui, en retrait, ont collaborĂ© Ă leur rĂ©alisation. Le principe du renom, de la notoriĂ©tĂ© ne souffre pas la reconnaissance de la division du travail. Comme lâĂ©crit lâhistorienne de lâart Isaline Bouchet LâĂ©conomie artistique est fondĂ©e sur lâĂ©change dâĆuvres dâart Ă auteur unique. Tant que lâarchitecture physique et sociale des espaces consacrĂ©s Ă lâart demeure le cadre dominant des pratiques artistiques, le co-autorat ne peut guĂšre se percevoir autrement que comme une entrave Ă la sorte dâindividualisme possessif sous-jacent Ă la notion dâautorat⊠». Toute Ćuvre artistique se doit dâĂȘtre soumise Ă des procĂ©dures de lĂ©gitimation. Celles-ci sont principalement de deux ordres, dâune part, lâaccompagnement de diffĂ©rents discours instaurateurs dĂ©clarations dâintention, rĂ©flexions du crĂ©ateur, prescriptions des galeristes, des commissaires, des critiquesâŠ, dâautre part, son discours sur lâĆuvre a en lui-mĂȘme une valeur de prescription et tend Ă se faire autorĂ©fĂ©rentiel. Les artistes, concernant leur Ćuvre, se doivent en effet dâĂ©tablir le sens qui peut ou doit lui ĂȘtre donnĂ©. Par lâoriginalitĂ© du concept quâil met en avant, lâartiste impose son nom sur le marchĂ© de lâart. La lĂ©gitimation de lâĆuvre dâart passe par son assignation Ă un auteur qui, dans le contexte du marchĂ© de lâart, sâaccompagne mal du pluriel, sauf sâil sâagit bien entendu dâun duo â tel Pierre et Georges â qui fonde leur notoriĂ©tĂ© sur leur indistinction. La signature atteste lâunicitĂ© et lâauthenticitĂ© de lâĆuvre, proclame son individuation, sa subjectivitĂ©, la prĂ©sence physique de lâauteur dans son Ćuvre qui engage sa postĂ©ritĂ©. Quand bien mĂȘme, certains artistes sâinsĂšrent dans une dĂ©marche rĂ©flexive en se rĂ©clamant, par exemple de pratiques collaboratives revendiquĂ©es comme telles, peu dâentre eux accĂšdent Ă la starisation quâimpose le marchĂ© de lâart concurrentiel. DâinĂ©vitables frustrations versus un sentiment dâenrichissement collectif Si les collaborations sont souvent sources dâenrichissement, elles gĂ©nĂšrent aussi des dĂ©sillusions qui peuvent prendre la forme de frustrations. Elles sont inĂ©vitablement un lieu de tensions, voire de conflits, un lieu oĂč se confrontent les tutoiements et la convivialitĂ© avec lâĂ©gotisme autoritaire personnalisĂ© par la prĂ©sence de lâartiste. Si la coopĂ©ration occasionnelle prend en effet aisĂ©ment la forme dâun partage convivial, elle se transforme souvent avec lâapparition dâun sentiment dâinstrumentalisation. Entre collaboration et prestation de service la confusion peut sâinstaurer et sâaccompagner dâun sentiment dâinjustice. Chez les informaticiens le glissement sâopĂšre souvent. Ils peuvent avoir lâimpression de travailler un peu Ă Ă©galitĂ© avec lâartiste et mĂȘme considĂ©rer que lâĆuvre nâaurait pu exister sans lâappareillage numĂ©rique quâils ont mis en place mĂȘme sâils sont conscients que celle-ci nâexisterait pas non plus sans le concept qui lâa initiĂ©e. Les frustrations gĂ©nĂ©ralement non dites sâaccompagnent dâun sentiment dâinjustice refoulĂ© qui peut naĂźtre de lâappropriation radicale de lâĆuvre par lâartiste, alors mĂȘme quâil y a eu entiĂšre coopĂ©ration, voire une dĂ©lĂ©gation des taches, au cours de sa rĂ©alisation. Mais les tensions et les conflits se vivent en situation, seuls les souvenirs heureux, Ă lâexception de quelques rancĆurs tenaces, demeurent et sâinscrivent dans la mĂ©moire dâun engagement collectif. Le sentiment qui prĂ©vaut est celui dâavoir vĂ©cu un enrichissement par lâĂ©change des idĂ©es, des compĂ©tences, la mise en commun des comportements et personnalitĂ©s de chacun. Le transfert dâexpĂ©riences et de rĂ©fĂ©rences est souvent mentionnĂ© et ce sont parfois les incompĂ©tences des uns qui enrichissent les compĂ©tences des autres face Ă la nĂ©cessitĂ© de dĂ©passer les obstacles. Une entraide mutuelle sâinstaure. Les rĂ©cits des moments dâamitiĂ© et dâentraide peuvent bien sĂ»r, masquer les non-dits â lâappropriation a posteriori par les artistes de ce qui a Ă©tĂ© fait dans une fiĂšvre commune, les sautes dâhumeur et les propos humiliants, etc. Mais ce qui nâest pas dit ou juste Ă©voquĂ© en sourdine, tient moins au sacrilĂšge quâoccasionnerait un effritement de la fĂ©licitĂ© de lâĆuvre, quâĂ une sorte de solidaritĂ© dans laquelle chacun sâest engagĂ© et quâil est impensable de ruiner dans sa charge symbolique. Si chacun prĂ©fĂšre faire abstraction de ses rĂ©criminations, câest parce que le rĂ©cit dâune collaboration rĂ©ussie grandit bien davantage que des propos mitigĂ©s assimilables Ă des mesquineries. Bouchet I., 2004, Parcours dâun duo et dâun collectif dâartistes », Plastik, 2004, n°4. CrĂ©dits images en CC Flaticon Freepik, geotatah, Virgile Novarina ESA/CNES, monkik, Eucalyp
1Cette sĂ©quence sur les Fleurs du Mal de Baudelaire a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e parChristian FERRE, agrĂ©gĂ© de lettres modernes, pour ses Ă©lĂšves de 1ĂšreL duLycĂ©e Mistral Ă correspond Ă un travail effectuĂ© en dĂ©but dâannĂ©e et prĂ©sente unapprentissage progressif de la lecture analytique et du commentairelittĂ©raire Baudelaire Les Fleurs du MalProblĂ©matique Comment l'Ă©vocation de la femme dans Les Fleurs du Mal rĂ©vĂšle-t-elledes aspects essentiels du lyrisme de Baudelaire, notamment de son dĂ©chirement entre le spleen » et l' IdĂ©al »?ObjectifsHistoire littĂ©raire. Genres et registres- DĂ©finir la poĂ©sie lyrique et approfondir l'Ă©tude du registre lyrique- DĂ©couvrir la singularitĂ© du lyrisme de Baudelaire Ă travers l'Ă©vocation de la femme dans lesFleurs du mal- Ătudier l'architecture d'un recueil/livre de poĂšmes. Situer une oeuvre dans son Mener l'Ă©tude d'un poĂšme lyrique Ă l'aide des outils d'analyse appropriĂ©s- Consolider les savoirs techniques, versification et rhĂ©torique figures de style, pour lesmettre au service de la construction du sens ;- Consolider la mĂ©thodologie de la lecture analytique et du Formative rĂ©diger la prĂ©sentation de Parfum exotique »⹠Sommative devoir type Bac preparation- RĂ©daction d'une rĂ©ponse Ă une question portant sur un corpus de poĂšmes 1h La chevelure », Les Fleurs du mal Le serpent qui danse », Les Fleurs du mal Un hĂ©misphĂšre dans une chevelure », Le Spleen de Paris- RĂ©daction de l'introduction et d'un axe du commentaire du Serpent qui danse » l'Ă©loge dela femme. Devoir sur table 2h.DurĂ©e 16 heures.
Dictionnaire Collaboratif Français DĂ©finition jeter le bĂ©bĂ© avec l'eau du bain v. 1. perdre de vue l'essentiel 2. se dĂ©barrasser d'une chose pourtant importante dans le but d'Ă©liminer avec les ennuis ou contraintes qu'elle implique Expressiofamilier attentat-suicide nm. attentat qui implique la mort de son auteur Pluriel "attentats-suicides". Qu'en est il de exp. What about qu'Ă cela ne tienne exp. exprime une sorte d'accord un peu dĂ©sinvolte, presque Ă contre-coeur Ă prĂ©ciser, phrase idiomatique un peu vide ni quoi ni qu'est-ce exp. rien du tout, aucune chose Expressiofamilier ! ConsĂ©quence nf n. Suite qu'une chose peut avoir qu'Ă cela ne tienne ! exp. 1. peu importe ! 2. que cela ne soit pas un obstacle ! Expressio ! ne devoir son salut qu'Ă o. ĂȘtre sauvĂ© grĂące Ă visible comme le nez au milieu de la figure exp. flagrant, plus qu'Ă©vident. expression familiĂšre ou populaire. tout son soĂ»l adv. Ă satiĂ©tĂ©, autant qu'on veut Expressiofamilier allosexuel, elle adj. relatif aux orientations sexuelles autres qu'hĂ©tĂ©rosexuelles 1. s'emploie Ă©galement comme nom "un allosexuel, une allosexuelle" 2. synonyme de "altersexuel" altersexuel, elle adj. relatif aux orientations sexuelles autres qu'hĂ©tĂ©rosexuelles * s'emploie aussi comme nom "un altersexuel, une altersexuelle" * synonyme de "allosexuel" n'en faire qu'Ă sa tĂȘte vi. agir selon ses envies, sans tenir compte de l'avis ni de l'intĂ©rĂȘt des autres prendre qqch. pour argent comptant vi. croire naĂŻvement ce qu'on nous dit Ex. "elle prend toutes les belles promesses pour argent comptant". ! dĂ©possĂ©der n. enlever, prendre ce qu'une personne possĂšde Ă discrĂ©tion adv. sans restriction, autant qu'on le veut Reverso/Expressio avoir la bride sur le cou v. ĂȘtre libre de faire ce qu'on veut Expressio c'est quand qu'on va oĂč ? exp. s'emploie par ironie lorsqu'on est trĂšs perplexe devant une situation incertaine ou qui ne mĂšne nulle part [Fam.];[Hum.] l'expression est le titre d'une chanson de Renaud mon sang n'a fait qu'un tour exp. j'ai ressenti une Ă©motion vive et soudaine [figurĂ©] Ex. "Ă ces mots, mon sang n'a fait qu'un tour". homo homini lupus est exp. Locution latine signifiant littĂ©ralement "l'homme est un loup pour l'homme". Elle implique que l'homme est un danger pour lui-mĂȘme. Pour ajouter des entrĂ©es Ă votre liste de vocabulaire, vous devez rejoindre la communautĂ© Reverso. Câest simple et rapide
qu implique le tutoiement dans une relation